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Omégachoco, le Chocolat et le Chirurgien

Jean-Claude Berton, directeur de la chocolaterie Berton, est maître artisan chocolatier, chercheur ainsi il a ouvert sa chocolaterie en 1981 et a également lancé plusieurs spécialités telles que le Châtelleraudais et la boule du Futuroscope qui d’ailleurs sont toutes deux entrées dans le patrimoine des spécialités de France. Mais celle qui a vraiment fait grandir sa notoriété est l’Omégachoco ® (voir doc ci-dessous), un chocolat biologique (comme la majorité de son assortiment) enrichi en oméga 3, magnésium, manganèse et d’autres vertus. Il ne contient ni lactose et ni gluten. Ce produit est une marque déposée dont la recette est gardée secrète, il en a donc le monopole. Il a aussi créé le Festival du Chocolat en 2000 qui depuis a lieu chaque année. Très soucieux et impliqué en ce qui concerne la qualité de ses produits, de choisir le meilleur cacao, avec des producteurs en Amérique du Sud dont les fèves servent pour la confection de plusieurs de ses chocolats.

La génèse du livre

Avertissement d’abord merci aux Professeurs Henri Joyeux avec qui j’ai fais ce livre et Christian Cabrol, ainsi que le producteur de Cacao Dr José Antonio Martinez Rojas. Le livre Le Chocolat et le Chirurgien vous fait part de mes expériences, de mes constats, de mes rencontres, pour vous informer et faire de la prévention.

Tous les cas que j’expose dans les pages qui suivent sont tirés d’un état des lieux, des données bibliographiques, et cliniques sur les atouts nutritionnels, dont ceux du chocolat noir Omégachoco 70% de fèves minimum pur beurre de cacao directement issu de la fève de cacao sans autres graisses ajoutées.

Des témoignages des consommateurs d’OmégaChoco®, de la littérature, qui sont indiqués comme tels, les noms et toutes les informations permettant d’identifier les personnes ont été modifiés. J’ai choisi d’exposer en termes simples ma compréhension actuelle sur l’importance de l’alimentation sur notre santé.

 

Ce livre me permet de rendre compte de toute la complexité des phénomènes biologiques ou des controverses au sujet des rapports et des études existantes. Des années de recherche m’ont permis de mieux comprendre comment on pouvait aider notre organisme à mieux se protéger. J’ai épluché des bases de données, médicales et publications scientifiques.  Je me suis aperçu que les informations étaient souvent partielles, dispersées, et qu’elles ne prenaient tout leur sens que lorsque on les réunissait en étant en écoute totale. Le contenu de ce livre ne remplace en aucun cas l’avis d’un médecin. Il ne permet pas de faire un diagnostic. Je parle des acides gras dont ceux du chocolat et leurs effets sur la santé. Les composés phénoliques dont ceux du chocolat, les fibres, les vitamines et minéraux, les oligo-éléments, les antioxydants, les omégas 3, et tout ceci avec le plaisir en point de mire.

Dans quel monde étrange vivons-nous ?

Un monde d’opulence et de misère. Nous pensons être informés et instruits mieux que jamais : mais la sur-information tue l’information. Nous banalisons à force de facilité, d’évidence, et le confort est devenu tellement quotidien que nous en oublions le bon sens et la logique : c’est un acquis, un point c’est tout. Nous ne raisonnons plus par rapport à la qualité de notre alimentation, les doses massives de sucre, de gras, de sel et de chimie sont quotidiennes. L’aliment a perdu sa place d’élément de vie et de prévoyance pour notre santé, il est devenu un produit de consommation pratique bien emballé, de longue conservation, facile à mettre en œuvre. On en oublie les premières règles de connaissance minimum pour préparer un produit de consommation courante. Ceci ne correspond plus aux règles fondamentales qui définissent un bon aliment : bon, juste et propre.

  • Un aliment bon : doit éveiller nos sens gustatifs et olfactifs. Il ne doit pas seulement exciter nos papilles par du sucré ou de l’acide, mais faire appel à notre intelligence sensorielle. Une pomme ne doit pas se contenter d’être belle et régulière mais doit aussi croquer sous la dent, fondre en sucres naturels, dans la bouche et retrouver ses saveurs du naturel d’origine. Un aliment doit être synonyme de plaisir en bouche et pas être réduit à servir à nous remplir l’estomac.
  • Un aliment juste : doit être produit dans le respect de l’homme, de l’animal et de la nature. Le seul but de la recherche ne doit pas être seulement le rendement et la standardisation.
  • Un aliment propre doit être naturellement bon, ne pas être aseptisé, stérilisé. A force d’émulsifiants, de texturants, de conservateurs, d’acidifiants, d’exhausteurs de goût et autres colorants, on a complètement détourné la définition du bon. Les nouvelles normes satisfont surtout les distributeurs au détriment des producteurs et où le consommateur « compte pour du beurre ». Les quantités consommées, d’aspartame, de glutamate, d’arômes artificiels, d’émulsifiants, de colorants, de sucre et de sel sont énormes.
  • Un produit bon à manger : doit être propre dans sa composition et élaboré de façon juste. Cette règle est également valable pour les produits bio : ce n’est pas parce qu’ils sont bio qu’ils sont forcément bons. Le fait d’être cultivé ou élevé dans le respect de la tradition des ingrédients, de la race, des méthodes rendant les produits bio souvent conformes, mais ce n’est ni systématique ni obligatoire. Le produit doit faire preuve de savoir faire et de professionnalisme dans sa transformation. Le consommateur doit apprendre, être à l’écoute, chercher à comprendre, se souvenir, savourer avec plaisir, dans la joie et non dans l’angoisse, l’horreur tient à peu de choses, le consommateur doit prendre conscience de toute son importance et du pouvoir qu’il a s’il le veut ! La qualité : est-ce se contenter d’un produit médiocre, durable dans le temps et enrichi aux concentrés de pub et de marketing. D’où la nécessité d’avoir une nourriture saine et équilibrée pour tenir la longueur entre la pression physique, psychologique et avoir une certaine philosophie pour donner beaucoup de soi. J’ai enrichi mes connaissances par les nombreux stages, les expériences, les rencontres avec les scientifiques, les chercheurs, les médecins, et des personnes de tout milieu et de différente culture.