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L’aromathérapie, du latin ou du grec « aroma » (arome) et « therapeia » (thérapie), est la petite sœur de la phytothérapie, puisque contrairement à elle qui utilise l’ensemble des différentes parties d’une plante : tige, feuilles et racines, l’aromathérapie se concentre uniquement dans l’utilisation médicinale des extraits aromatiques des végétaux dans un but thérapeutique, en les utilisant sous forme d’huile végétale ou d’huile essentielle. Certains vont même jusqu’à fusionner ces deux disciplines sous le nom de phyto-aromathérapie.
On doit l’apparition et l’utilisation moderne du terme aromathérapie au chimiste René Maurice Gattefossé en 1935. En occident, cette discipline est classée dans la catégorie des médecines alternatives.
Les origines de l'aromathérapie
Si les essences ont sacralisé l’embaumement des momies dans la civilisation antique Egyptienne, on retrouve aussi l’utilisation des plantes aux prémices de l’aromathérapie chez les Grecs et les Romains. Par la suite, l’utilisation de l’aromathérapie s’est progressivement répandue au fil des siècles et s’est diversifiée avant d’arriver jusqu’à nous. De plus en plus en vogue, elle représente aujourd’hui l’une des branches les plus prisées de la médecine douce. Les huiles essentielles sont les plus fréquemment utilisées en aromathérapie, cependant, on retrouve aussi des crèmes ou des lotions. En outre, cette médecine douce irrigue souvent d’autres médecines traditionnelles connexes comme la naturopathie. On retrouve par exemple l’utilisation d’huiles essentielles dans la pratique de l’Ayurveda, appelée aussi médecine ayurvédique, une médecine traditionnelle originaire d’Inde.
Dans le cadre d’une démarche thérapeutique, l’aromathérapie est en général recommandée pour compléter un traitement médical chronique, pour soigner des troubles dermatologiques, pour désinfecter et aider à la cicatrisation rapide des plaies et autres traumatismes comme les brûlures. Mais cette liste n’est pas exhaustive, puisque l’aromathérapie peut en outre être bénéfique en cas d’infections, de rhumes de foins, ou d’insomnies.
Bienfaits et précautions avec l'aromathérapie
Concernant les huiles essentielles désormais en vogue et même « à la mode » pour tout ce qui a trait à notre bien-être, qu’il s’agisse d’automédication de confort, ou tout simplement pour nous relaxer, nombre d’essences de plantes offrent des vertus apaisantes. Ainsi les bains et les massages composés d’huiles essentielles peuvent être un antistress efficace et puissant, grâce à leur double effet combiné psychique et psychologique. Les huiles essentielles sont abondamment utilisées dans la cosmétique, discipline surfant de plus en plus sur la tendance de la beauté au naturel.
L’aromathérapie sera également particulièrement efficace contre les rhumes en permettant, grâce à l’effet des huiles essentielles adéquates comme le ravintsara, le niaouli, l’arbre à thé ou tea tree, le saro, ou l’eucalyptus radié, de libérer les voies respiratoires et de renforcer les défenses immunitaires. aucune pathologie n’a pas encore été détectée.
L’aromathérapie : les précautions d’usage
Les différents modes d’utilisation courants en aromathérapie sont la voie orale, rectale, en massage sur la peau ou en friction, en diffusion atmosphérique, selon le type d’essence utilisée et les effets souhaités. Cependant, en raison de la toxicité éventuelle de certaines plantes et de leurs effets indésirables, il convient toujours de se procurer des essences ou des huiles essentielles de qualité et donc d’en vérifier la provenance. D’autant plus qu’en France comme dans la plupart des pays européens, la vente d’huiles essentielles ou la pratique de l’aromathérapie ne sont pas réellement réglementées. Il est donc important de s’adresser à des personnes qualifiées comme des professionnels de santé, un aromathérapeute, un naturopathe, ou tout simplement l’avis de votre médecin.
L’aromathérapie : dans quels cas y recourir ?
Dans le cadre d’une démarche thérapeutique, l’aromathérapie est en général recommandée pour compléter un traitement médical chronique, pour soigner des troubles dermatologiques, pour désinfecter et aider à la cicatrisation rapide des plaies et autres traumatismes comme les brûlures. Mais cette liste n’est pas exhaustive, puisque l’aromathérapie peut en outre être bénéfique en cas d’infections, de rhumes de foins, ou d’insomnies.
Concernant les huiles essentielles désormais en vogue et même « à la mode » pour tout ce qui a trait à notre bien-être, qu’il s’agisse d’automédication de confort, ou tout simplement pour nous relaxer, nombre d’essences de plantes offrent des vertus apaisantes. Ainsi les bains et les massages composés d’huiles essentielles peuvent être un antistress efficace et puissant, grâce à leur double effet combiné psychique et psychologique. Les huiles essentielles sont abondamment utilisées dans la cosmétique, discipline surfant de plus en plus sur la tendance de la beauté au naturel.
L’aromathérapie sera également particulièrement efficace contre les rhumes en permettant, grâce à l’effet des huiles essentielles adéquates comme le ravintsara, le niaouli, l’arbre à thé ou tea tree, le saro, ou l’eucalyptus radié, de libérer les voies respiratoires et de renforcer les défenses immunitaires.
Normalement, l’apport journalier idéal en thréonine pour l’organisme se situe entre 500 et 1 500 mg. L’alimentation constitue un moyen adapté pour satisfaire les besoins du corps. Plusieurs aliments végétaux ou animaux en contiennent suffisamment comme les fèves, les viandes, les œufs, les germes de blés, les volailles, les noix, les produits laitiers et ses dérivés. Par ailleurs, il est aussi possible de s’en procurer en optant pour les compléments alimentaires proposés sous forme de comprimés, gélules ou en poudre. Pour l’utilisation de ces produits, il est préférable de suivre les indications d’un médecin. Il faut savoir que le taux de thréonine essentiel dépend du poids de la personne. Plus elle dispose d’un poids élevé, plus les besoins en cet élément augmente.
Dans le cas où les besoins en thréonine sont insuffisants. Il peut survenir de nombreux troubles. Etant responsable de la production de collagène, un manque pourrait engendrer des problèmes cutanés. La personne pourrait être plus sensible à la fatigue et aux différentes maladies. Des symptômes au niveau du foie vont se déclencher, impactant ainsi sur le bon fonctionnement de l’appareil digestif. Une recherche a mis en évidence les conséquences d’un déficit en thréonine sur l’intestin grêle. Une hypotrophie au niveau des villosités est apparue, une situation liée à la baisse de cet élément dans l’organisme. Une pathologie qui provoquerait une malnutrition. En cas d’excès, aucune pathologie n’a pas encore été détectée.
L’aromathérapie : les précautions d’usage
Les différents modes d’utilisation courants en aromathérapie sont la voie orale, rectale, en massage sur la peau ou en friction, en diffusion atmosphérique, selon le type d’essence utilisée et les effets souhaités. Cependant, en raison de la toxicité éventuelle de certaines plantes et de leurs effets indésirables, il convient toujours de se procurer des essences ou des huiles essentielles de qualité et donc d’en vérifier la provenance. D’autant plus qu’en France comme dans la plupart des pays européens, la vente d’huiles essentielles ou la pratique de l’aromathérapie ne sont pas réellement réglementées. Il est donc important de s’adresser à des personnes qualifiées comme des professionnels de santé, un aromathérapeute, un naturopathe, ou tout simplement l’avis de votre médecin.
Normalement, l’apport journalier idéal en thréonine pour l’organisme se situe entre 500 et 1 500 mg. L’alimentation constitue un moyen adapté pour satisfaire les besoins du corps. Plusieurs aliments végétaux ou animaux en contiennent suffisamment comme les fèves, les viandes, les œufs, les germes de blés, les volailles, les noix, les produits laitiers et ses dérivés. Par ailleurs, il est aussi possible de s’en procurer en optant pour les compléments alimentaires proposés sous forme de comprimés, gélules ou en poudre. Pour l’utilisation de ces produits, il est préférable de suivre les indications d’un médecin. Il faut savoir que le taux de thréonine essentiel dépend du poids de la personne. Plus elle dispose d’un poids élevé, plus les besoins en cet élément augmente.
Dans le cas où les besoins en thréonine sont insuffisants. Il peut survenir de nombreux troubles. Etant responsable de la production de collagène, un manque pourrait engendrer des problèmes cutanés. La personne pourrait être plus sensible à la fatigue et aux différentes maladies. Des symptômes au niveau du foie vont se déclencher, impactant ainsi sur le bon fonctionnement de l’appareil digestif. Une recherche a mis en évidence les conséquences d’un déficit en thréonine sur l’intestin grêle. Une hypotrophie au niveau des villosités est apparue, une situation liée à la baisse de cet élément dans l’organisme. Une pathologie qui provoquerait une malnutrition. En cas d’excès, aucune pathologie n’a pas encore été détectée.